Le 27 janvier 2009, à l'occasion de la Journée internationale de commémoration en mémoire des victimes de l'Holocauste, le président de l'Assemblée générale des Nations Unies, Miguel d'Escoto Brockmann, a rappelé que tous les génocides avaient pour point de départ le rejet de "l'Autre", que la différence soit fondée sur la religion, l'origine ethnique, les idées politiques ou l'orientation sexuelle.